J’aime cette Aqua d’Elle… aux couleurs automnales, annonce d’un hiver blanc, comme de la mort qui suit l’ illusion… mais ce blanc qui au loin prédomine, telle une aveuglante clarté d’ âme, c’est aussi et surement, l’aube d’ une renaissance, diffuse certes, mais tellement aveuglante qu’elle en obscurci le décors, comme une soif qui noie toute faim… faisant oublié que l’œil qui regarde, est vu par la lumière qui nous « rayonne »… au delà des eaux de là et des maux d’ ici.
J’aime cette Aqua d’Elle… aux couleurs automnales, annonce d’un hiver blanc, comme de la mort qui suit l’ illusion… mais ce blanc qui au loin prédomine, telle une aveuglante clarté d’ âme, c’est aussi et surement, l’aube d’ une renaissance, diffuse certes, mais tellement aveuglante qu’elle en obscurci le décors, comme une soif qui noie toute faim… faisant oublié que l’œil qui regarde, est vu par la lumière qui nous « rayonne »… au delà des eaux de là et des maux d’ ici.